La canneberge au cœur de l’identité culinaire du Centre-du-Québec
En juin 2025, Tourisme Centre-du-Québec a dévoilé des recommandations pour la recherche d’une identité culinaire forte au Centre-du-Québec à la suite d’une étude menée par la Société du réseau ÉCONOMUSÉE (SRÉ). Selon Tourisme Centre-du-Québec, il s’agissait d’une nécessité vu l’importance du tourisme gourmand dans l’offre touristique régionale.
Qui serions-nous pour nous y opposer quand on sait que la grande majorité de la culture de canneberge au Québec se fait dans cette région!
Voici les conclusions du rapport, tel qu’on peut les lire dans le communiqué de presse émis par Tourisme Centre-du-Québec :
«Les traits caractéristiques qui composent l’identité culinaire du Centre-du-Québec ont été rassemblés à l’intérieur du projet de manifeste que voici : « Au Centre-du-Québec, chaque produit raconte une histoire. Nos canneberges biologiques, notre fromage en grains qui fait squik squik, et notre sirop d’érable fait en gang dans nos érablières familiales sont des symboles de notre terroir. La poutine née ici, préparée de foyer en foyer, représente notre héritage culinaire, tout comme nos viandes et poissons de terroir comme le bœuf et l’esturgeon, qui sont fièrement élevés et pêchés localement. Le Centre-du-Québec, c’est une région où chaque bouchée est une célébration de l’authenticité, du savoir-faire et de la passion locale. »
Ses composantes :
- « Une pratique - le temps des sucres à l’érablière familiale »;
- « Une ressource végétale – la canneberge du Centre-du-Québec »;
- « Une ressource animale – l’oie-des-neiges de Baie-du-Febvre »;
- « Une ressource animale – l’esturgeon jaune du lac Saint-Pierre »;
- « Un produit transformé – le fromage en grains »;
- « Un plat – la poutine ». »
Les producteurs de canneberges sont fiers de compter parmi cette tradition culinaire du Centre-du-Québec et on vous invite à cuisiner ce petit fruit acidulé emblématique du Centre-du-Québec avec autant de plaisir que nous!
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Centre-du-Québec: une identité culinaire en quête de reconnaissance - Le Courrier Sud